viernes, 21 de agosto de 2020

L'IMMEUBLE

VOICI LES ACTIVITÉS QUE NOUS DÉVELOPPERONS DANS UN PREMIER TEMPS:


PUIS UN JOUR, IL ARRIVA...
 

lunes, 13 de febrero de 2012

PRÉSENTATION DU GROUPE

LOU MAE GABRIELLE DESSANGES

Je suis née le 21 mars 1975 à Pai Mai, dans une petite ville japonaise. Mon père est japonais et ma mère est française. Nous sommes rentrés en France quand j’avais 4 ans. Quelques années plus tard, je me suis passionnée pour la peinture. Mes parents décidèrent de m’inscrire dans une école privée, destinés aux enfants créatifs : L’école des Petits Arts à Paris XVI. Puis en 1996, Olivier Maçon, célèbre sculpteur, m’initia à l’Art Corporel et à la sculpture. Dès lors, j’ai commencé à travaillé en tant que maquilleuse corporelle pour de grandes marques dans le monde du Design, et j’ai participé à de nombreuses collaboration dans le domaine publicitaire. Aujourd’hui je travaille essentiellement pour l’intégration du corps dans l’œuvre de peinture corporelle, comme support à l’œuvre d’art, c’est le corps transformé qui devient l’œuvre d’art. L’art du maquillage est ma spécialité autant pour le cirque que pour le théâtre, la danse et tout ce qui concerne le monde plastique.
Je suis une personne assez joviale, parfois je suis un peu tête en l’air.

Je vis actuellement à Montmartre dans un petit appartement près de la Place de Tertre. 



JEAN TAMARIZ est né le 2-10-79 à Toronto, une ville du Canada. À quatre ans, il aime voir à la télévision tous les programmes de magie. Quelques années plus tard JEAN TAMARIZ  n´aime pas la magie…….il adore la magie!  Il est encore jeune mais il pense qu´il ne peut pas vivre sans elle. Ses parents n´étaient pas d´accord mais ils  acceptent.  Ils décident alors de l´inscrire dans un lycée à Monaco, où étudient les meilleurs magiciens du monde.  JEAN TAMRIZ entre au lycée “Alberto de Monaco” et commence des études de magie. Il habite ici maintenant (13 boulevard Grace Kelly, à Monaco)
En 1999, JEAN TAMARIZ rencontre David Copperfield, qui lui montre les principales habiletés d´un grand magicien.  Pendant 5 ans, il étudie des secrets de la magie. Aujourd´hui c´est sa profession…….la MAGIE!!
En 2001, il obtient un prix important: MÉDAILLE D´ARGENT dans la “Compétition pour jeunes magiciens” qui a lieu tous les deux ans à Bruxelles.
En 2004, il commence à enseigner la magie et il en devient professeur au lycée Alberto de Monaco où il a étudié; en plus de travailler aussi au théâtre surtout en Europe.
En 2005, quand JEAN TAMARIZ est déjà connu dans le monde, il  crée la “FONDATION TAMARIZ”, pour aider les enfants de magiciens qui ont des problèmes.
En 2008, il reçoit la lettre la plus surprenante de sa vie……c´est Martin Scorsese qui lui offre de participer dans un de ses films avec un petit rôle…..qu´il accepte sans y réfléchir. Mais aujourd´hui encore, il est en train d´attendre de faire ce film (il n´a pas été fait pour des raisons économiques, mais…… “ça se fera bientôt”, selon Martin)
JEAN TAMARIZ aime aussi les sciences occultes et les phénomènes paranormaux (extraterrestres, OVNIS), mais seulement comme loisirs.
Il déteste les personnes qui mentent et qui n´écoutent pas.
JEAN TAMARIZ a l´air faible mais il est vraiment fort. Il porte des lentilles bleues et il est blond. Il est plutôt très optimiste et il est parfois trop têtu.
C´est grâce à son meilleur ami qu´il connait sa femme. Il est marié et a deux enfants (jumeaux). Encore aujourd´hui il l’aime et ils continuent ensemble.


Je m’appelle Mascart Luna Caroline. Je suis née le deux mai mille neuf cent soixante-treize à Bilbao, une ville d’Espagne.
Ma mère est espagnole et mon père est français. Ils se sont connus en faisant le chemin de Santiago, mais ils étaient seulement amis pendant qu’ils étaient étudiants. Quelques années plus tard  ils se rencontrés à Madrid et ils se sont mariés.
Mon père travaillait dans une entreprise multinationale et de temps en temps nous nous déplacions  à d’autres endroits.
Je suis née à Bilbao, mais à quatre ans on est allés vivre dans un petit village au Canada, à La Tuque au Québec où j’y ai passé mon enfance entourée par la nature, et les animaux…; j’étais très heureuse.
Quelques années plus tard, on est  revenus en Europe, en Suisse et tout de suite mes parents ont décidé d’aller vivre en Espagne. J’habite là-bas et je suis très contente avec la famille de ma mère: mes grands-parents, mes cousins, mes oncles…Ils sont tous là.
C’est alors que j’ai commencé mes études de philologie à l’Université de Salamanca.
En mille neuf cent quatre vingt- treize une amie d’enfance est venue étudier en Espagne. Nous étudions, mais aussi nous voyagions partout en Europe.
J’aime beaucoup voyager, la nature;  j’adore faire de la randonnée là où je vais. Moi aussi j’aime bien la cuisine. Quand je voyage j’aime manger de la cuisine typique du pays que je visite. Je déteste la gens qui ne soigne pas l’environnement.
Actuellement, j’habite à Paris et avec mon amie Jacqueline nous avons un petit restaurant. Nous faisons la cuisine méditerranéenne, nous avons un petit potager dans le jardin du restaurant. Aussi on fait nos propres desserts et les sucreries.
Vous êtes invités à me rendre visite  et déguster notre cuisine.
Le restaurant s’appelle LE SOLEIL MEDITERRANEEN.  

Michel Polnareff

Chère Lou-Mae
Je t’écris pour te raconter comment a été ma vie.
Je suis né le 3 juillet 1944 à Nérac, un petit village de L’Aquitaine. J’ai passé toute mon enfance baigné dans la musique, parce que mon père a été musicien et ma mère danseuse. J’ai appris à jouer de la guitare et du piano quand j’étais petit. Avec 20 ans, je me suis installé a Montmartre, loin de l’oppression familiale. Deux ans après, j’ai enregistré mon premier LP.
Dans la vie, j’ai gagné beaucoup d’argent, mais en 1973 j’ai eu un énorme déficit parce que mon homme de confiance m’a trompé et il s’est accaparé de mon capital. Comme je ne pouvais pas payer mes impôts, j’ai décidé de partir vers la Californie.
Je suis revenu dans mon pays en 1984, et bien que j’ai continué à composé de nouvelles chansons, je ne suis pas monté sur une scène française jusqu’en 2007.
Aujourd’hui je suis en train de créer un nouvel album. J’espère qu’il te plaira.
Prends soin de toi. 


 Katia Rousseau López
 
 Je m’appelle Katia Rousseau López. Je suis née le cinq juillet mille neuf cent quatre vingt dix à Barcelona, une ville d’Espagne.
  Mon père est français et ma mère est espagnole. Ils se sont connus à Barcelone, quand mon  père passait ses vacances là-bas.
Comme   mon père este architecte, il a ouvert son bureau à Barcelone et ma mère travaillait à l’hôpital de Barcelone, par conséquent ils sont restés sur Barcelone.
 Quand, j’avais dix ans, mes parents ont divorcé, en ce moment mon père vit  à Paris parce que je suis sa seule famille. Moi, je suis restée avec ma mère.
 Quelques années plus tard, je suis allée vivre avec mon père à Paris parce que je me prenais trop souvent la tête avec ma mère car elle voulait que je fasse des études de médecine, mais  je déteste étudier et travailler.
 J’ai vécu avec lui pendant deux ans et nous étions très bien, mais à cause de remariage, je vis seule dans un appartement que mes parents me payent.
 Aujourd’hui, mes parents croient que je suis des cours de langues, cependant je n’étudie pas et je ne travaille pas non plus. J’apprends à peindre et je prends des cours de chinois, je fais du sport de risque, je vais en boîte, au théâtre,… Je suis une personne très occupée.

lunes, 9 de enero de 2012

QU'EST-CE Q'UNE SIMULATION GLOBALE?

Préparer et réaliser une simulation globale en classe permet de motiver les apprenants, tout en leur offrant la possibilité de s'exprimer en français, à l'oral mais aussi à l'écrit. Le principe en est simple : il s'agit d'entraîner les élèves dans un univers différent de celui de la classe (un immeuble, un village, une île, un cirque, une entreprise…) que l'on appelle le lieu-thème, de leur faire endosser une identité fictive et de les amener à simuler toutes les fonctions du langage que ce cadre est susceptible de requérir. La simulation s'apparente ainsi à un jeu de rôle "grandeur nature", où l'on fait paraître comme réel ce qui ne l'est pas.

La réalisation d'un projet de simulation globale met en jeu acquisitions linguistiques, utilisation de documents authentiques, imagination, jeux de rôles, pratiques de communication orales et écrites, rédaction et création littéraire.

Quel que soit le lieu thème, deux options existent : celle d'une simulation réaliste – le lieu imaginé se trouve en France (comme dans Le café bordelais) ou dans le pays des élèves – ou celle d'une simulation fiction – le lieu se trouve dans un ailleurs créé de toutes pièces (à l'image du Voyage sidéral). Un décalage temporel est également possible : on peut choisir un village d'autrefois (à titre d'exemple, consultez le compte rendu de la simulation J'ai vécu dans un village Lorrain du Moyen-Âge) ou se projeter dans l'avenir. De nombreux enseignants préfèrent choisir un lieu en France car cette option leur permet de travailler non seulement la langue mais aussi la civilisation française. Les professeurs enseignant à un public d'enfants nouvellement arrivés en France choisissent ainsi souvent le thème d'un village français (voir par exemple Le village Cap Frambate, mis en place dans une classe d'accueil à Paris), qui représente une réalité géographique et humaine, se rattache à une histoire et obéit à des règles de fonctionnement sociales et politiques qui constituent pour les élèves des apprentissages indispensables, aussi bien dans le cadre scolaire que pour leur insertion citoyenne et professionnelle en France.

Voici les grandes étapes du déroulement d'une simulation globale, telles que les définit Francis Yaiche :
Établir le lieu et le milieu

Construire un "lieu-thème" consiste à entraîner les élèves sur un lieu qui fonctionne comme un milieu et comme un thème : une île, un immeuble, un village, etc. Les univers peuvent être "fixes" : île, village, immeuble, quartier d'une ville, planète, camping ou "itinérants" : cirque, croisière, voyage scolaire, tournée d'un groupe musical, etc. Cette étape initiale permet d'introduire une première pratique discursive : la description. Pour décrire, les apprenants vont devoir identifier, nommer les éléments constitutifs du monde, les localiser, les quantifier et enfin les qualifier.
Établir les identités fictives

Construire des identités fictives, c'est amener les élèves à se glisser dans la peau d'un personnage qu'ils vont incarner, et auquel ils vont donner une âme. Les apprenants doivent faire vivre cette identité en la rendant crédible. L'identification des personnages se fait en trois temps : l'identification administrative (âge, nationalité, profession…), l'identification biographique (le passé des personnages) et le portrait (traits de caractère, physique, etc.), permettant d'introduire une deuxième grande opération discursive : le récit, ici, le récit de vie.
Donner épaisseur et vie au milieu par des interactions

C'est par des interactions que chaque apprenant va participer à la vie du cadre imaginé. Ils vont être amenés à donner une épaisseur historique, géographique et sociologique au lieu-thème et à imaginer les relations entre les personnages ainsi que leur rôle dans le décor. Cette étape est l'occasion de la mise en place de jeux de rôles.
Faire intervenir des événements et des incidents

Les apprenants vont ensuite devoir faire vivre les personnages en suscitant des événements et des incidents : un crime, une histoire d'amour, un incendie…

PRÉSENTATION DU PROJET

Il s'agit là d'un projet nouveau afin de simuler une rencontre entre plusieurs personnes et de cette façon intéragir d'une manière spontanée en frôlant au maximum la réalité qui parfois sera susceptible de se fondre avec la fiction.

Tout d'abord essayons de situer la scène:

Nous habitons tous dans le même immeuble, certains se connaissent déjà, d'autres viennent de s'y installer. Â chaque rencontre nous devrons transmettre nos idées, mais aussi partager les joies et les peines de notre quotidien et surmonter ensemble les incidents qui pourront avoir lieu au sein du groupe.